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La retraite en clair
Comment passer le cap

Editions Ellipses*, Février 2017

Disponible en particulier chez Fnac, Virgin, GibertAmazon etchez l’éditeur, auprès du service commercial au 01 45 67 74 19.


 

La retraite ?
Pas si simple !
Comment passer le cap

Editions Ellipses*, novembre 2009

220 pages, 12€, disponible en particulier chez Fnac, Virgin, GibertAmazon etchez l’éditeur, auprès du service commercial au 01 45 67 74 19.

Actualités

Venez me retrouver au Forum des chemins, au Forum 104,


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Passage à la retraite


Un nouveau projet de vie du 2 au 5 mai 2019 dans le Vendômois Groupe limité à 12 personnes.

En savoir plus

Documentaire sur le passage à la retraite

Webdocumentaire réalisé par l'équipe de la Licence professionnelle concepteur-réalisateur de l'Université Paul Valéry Montpellier III

Voir l'article sur Notre temps

Voir le documentaire

Le couple face à la retraite

On est fait pour s'entendre
Sur RTL le 7 février 2014
Avec Serge Guérin &
Sophie Muffang

Cliquez ici pour écouter l'émission

Sophie Muffang
DESS de Psychologie clinique
EFT, Constellations systémiques
Art-thérapeute

Développement personnel et Thérapie

Une différence ? Oui et non : d’accompagnement de projets à celui de projet de vie, il s’agit d’un processus d’intériorisation accompagnée, sur un versant plus social ou plus psychologique.

Dans le développement personnel, nous restons proches du contexte, du concret de la vie, d’un objectif, de résultats comme, par exemple, dans le cadre d’un bilan de compétences.

La thérapie va profondément dans l’intime, aborde des aspects dont nous n’avons pas conscience, elle concerne la personne dans sa globalité.

Quand consulter ?

Nos vies sont traversées de moments délicats, sensibles, difficiles voire cruciaux.

Certains de ces moments sont liés à notre vie familiale, comme déménagement, problèmes de couple, séparation, deuil, suite d’un accident ou d’une agression, mais aussi naissance d’enfant ou difficulté à mettre en route une grossesse…

D’autres relèvent de la vie professionnelle : mutation, licenciement, chômage, passage à la retraite.

Les deux s’articulent, bien sûr, et interagissent car ils nous touchent dans notre identité, individuelle et sociale.

Nous pouvons sentir plutôt la fragilité physique (maladie, ménopause, avancée en âge, fatigue, troubles du sommeil) ou plutôt un mal-être psychique ou relationnel (hyper-émotivité, isolement, dévalorisation), ou encore avoir l’impression que « tout va mal ».

Certains éprouvent le besoin d’être accompagnés.

Ils en font la demande, parce qu’ils en sentent le désir, même si ce n’est pas facile. Malgré leurs résistances, ils en sentent la nécessité.

Les résistances nous aident « à tenir » pendant un certain temps, puis face à un événement, à un concours de circonstances, à une accumulation de stress, on prend conscience qu’elles peuvent aussi nous empêcher de vivre.

D’autres ne ressentent pas le besoin d’une aide extérieure, pour différentes raisons.

Par exemple, ils ne croient pas pouvoir être aidés ou en avoir besoin, ils pensent que ce n’est qu’un mauvais moment à passer et qu’avec de la volonté, tout va finir par s’arranger…

C’est méconnaître le malaise, son étendue et ses incidences, ses effets sur soi-même, sur le moral, sur le corps, et sur les relations avec l’entourage, sur la façon d’envisager la vie.

C’est méconnaître aussi la capacité à changer. Non changer de vie ou changer la vie, mais changer son regard sur la vie et la façon dont on se laisse affecter.

C’est précisément l’objectif d’un « travail sur soi », autrement dit d’un travail thérapeutique.

Les modalités

Chaque histoire, chaque personne est singulière, les manières de l’approcher s’y adaptent. Certains sont rationnels, d’autres plus émotifs ; certains restent réservés, d’autres se confient plutôt facilement.

La parole est un vecteur  privilégié dans notre culture. Mettre des mots sur les maux permet de prendre conscience, de prendre du recul, de comprendre, de donner du sens.

Mais parfois « les mots pour le dire » ne suffisent pas :  ils peinent à venir, semblent réducteurs, suscitent de nouvelles incompréhensions… Et comprendre n’est pas toujours nécessaire ni suffisant.

Car il existe aussi un « au-delà des mots » fait d’images, de sensations, d’émotions, de mémoires qui nous habitent. Lui aussi a besoin de s’exprimer, d’être pris en considération. Il fait partie de nous, même à notre insu.

Nos composantes conscientes et inconscientes s’articulent, s’associent avec plus ou moins de bonheur : le mental, le corps, l’émotionnel, le spirituel communiquent sans que nous nous en rendions compte ; de même entre ce qui nous appartient en propre et ce que nous avons hérité.

Le travail thérapeutique se caractérise par l’accompagnement d’une attention subtile portée à soi-même, dans le but de reprendre contact avec ce qui a été enfoui pour l’accepter, le transformer. C’est une démarche d’intégration au lieu de lutter contre, de chercher à expulser dans l’oubli ou à projeter sur l’extérieur, elle vise à restaurer l’unité intérieure.
 
Sentir ses contradictions ou ses ambivalences et reconnaître ses conflits internes favorisent la sensation d’être soi-même : ainsi s’ancre la confiance en soi.

Relire le passé, créer des liens entre des événements, relier ce qui était séparé, rassembler ce dont nous nous sommes séparé, donner du sens permettent de retrouver l’énergie vitale, la bonne santé et vivre au présent.

D’une certaine façon, c’est se centrer sur soi, se relier à soi, pour pouvoir ensuite se relier aux autres, c’est aussi se donner les moyens d’assumer la pleine responsabilité de sa vie.

Pratiques thérapeutiques

L’écoute est bien sûr prioritaire et essentielle. Elle s’attache au verbal et au non-verbal, au contenu et au processus, au conscient et à l’inconscient qui s’exprime dans les rêves, les lapsus ou les passages à l’acte.

Je me suis formée à la Psychophanie, ou Communication Profonde Accompagnée, pour aider mes patients dans leur découverte de l’« au-delà des mots ».

Ainsi peuvent s’exprimer des personnes apparemment privées de parole, handicapées, malades, nourrissons, personnes dans le coma ou en fin de vie.

Cela permet aussi une exploration psychogénéalogique de mal-être, de malaises ou de troubles répétitifs, de trouver l’origine ou la signification de symptômes psychosomatiques, comme énurésie, eczéma, asthme, maux de tête, difficultés de sommeil, TOC…

Sensibilisée à la théorie des Constellations familiales de Bert Hellinger, je me suis formée à leur adaptation en individuel.

Le travail de Constellations systémiques avec des figurines permet de prendre conscience de la place de chacun dans son contexte, son « système » familial, amoureux ou professionnel, de repérer les dysfonctionnements et d’y remettre de l’ordre pour que chacun retrouve sa juste place et son équilibre.

L’EFT (Emotional Freedom Techniques) facilite la remise en forme du système énergétique ébranlé par les traumatismes de toute sorte, qu’ils concernent émotions, sensations ou douleurs.

La procédure de tapotements de points d’acupuncture et de passage des méridiens s’accompagne d’une identification progressive du problème et de ses différents aspects tout en renforçant la confiance en soi.

Relaxation et visualisation  peuvent venir compléter mes pratiques en cas de besoin.

Le cadre

L’espace thérapeutique est protégé par le cadre déontologique de la profession de psychologue.

L’Analyse Transactionnelle utilise pour l’expliquer trois notions : Protection, Permission, Puissance, liées l’une à l’autre, allant de l’une vers l’autre.

  • Protection de l’individualité de chacun, de ce qui fait sa richesse spécifique, inimitable, irremplaçable, protection de la personne en tant que telle et de l’alliance thérapeutique, unique en son genre, bien commun dont chacun est co-responsable.
    La Protection, c’est l’aspect normatif, « la loi » qui structure, encadre, règle, organise, fédère et pose des limites.
  • Permission pour chacun et pour les deux ensemble, le patient et le thérapeute. Permission d’être et de devenir pleinement soi-même, permission de nouveaux fonctionnements internes et relationnels.
    La Permission, c’est l’aspect nourricier de la relation, le « lien » qui unit, relie et prend soin, où chacun a sa place. Elle se manifeste dans l’écoute, l’attention, la disponibilité, le soutien, dans les échanges verbaux et non-verbaux.
  • Puissance d’être soi, seul et à deux, de la capacité à vivre avec et sans l’autre, puissance de la capacité à s’adapter aux situations nouvelles et puissance de la créativité pour élargir le regard, la conscience.
    Loin du sentiment d’impuissance, loin de la dépendance, de la croyance que sans l’autre on n’y arriverait pas. Tout aussi loin du sentiment de toute-puissance qui fait croire que moi, tout seul, j’y arrive mieux.

Puissance de l’interdépendance dans la relation où chacun existe, seul et ensemble.

Nous fixons donc ensemble les modalités concrètes de l’alliance thérapeutique.

Le cadre, cela signifie la confidentialité, la fréquence, la durée des séances, le prix, les absences, et ma supervision régulière par une professionnelle habilitée.

Interviews

• 25 janvier 2018 : Interview sur Mid & Plus 

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• 28 octobre 2017 : Interview par Ouest France

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• 2017 : Interview du magazine Psychologies

5 conseils pour une retraite sans stress

• avril 2015  : Interview sur le Journal des activités sociales de l'énergie, n°263

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